Jean-Jacques ROMATET est né le 26 mars 1951 à Biaudos, dans les Landes. Basque d’origine, Jean-Jacques ROMATET a eu très tôt le sens du service public chevillé au corps. Fils d’un boulanger, il a grandi dans un univers où sa famille travaillait tous les jours de l’année, afin d’assurer la continuité de service, au profit d’une population environnante attendant le pain quotidien. Ces valeurs se retrouvent dans son engagement total au profit du service public hospitalier, ouvert 365 jours par an, 24 heures sur 24.
Après de longues études, diplômé de l’Institut d’études Politiques de Bordeaux, et d’un DEA en Sciences de la Gestion (Université de Lyon), docteur en Droit de la Santé, Jean-Jacques ROMATET a connu de nombreuses expériences professionnelles, en particulier la direction de nombreux établissements hospitaliers : les Centres Hospitaliers de Dax (40) et de la Côte Basque (64), les Centres Hospitaliers Universitaires de Nice (06), Toulouse (31) et depuis le 23 Janvier 2013, l’Assistance Publique–Hôpitaux de Marseille. Jean-Jacques ROMATET a publié de nombreux ouvrages de doctrine hospitalière et rédigé de nombreux rapports à l’attention des différents Ministres de la Santé.
Jean-Jacques ROMATET a également occupé des fonctions électives et associatives importantes : Secrétaire Général du Syndicat National des Cadres Hospitaliers Force Ouvrière, fondateur et président de l’Association « Hôpital 2001 » et «Hôpital 2010 « , Fondateur et Président du Centre National de Référence « Santé à domicile », membre du Conseil Scientifique de la Fondation Hôpitaux de Paris–‐Hôpitaux de France ou encore de la Fondation Roche. Homme d’ouverture, il a toujours été attiré par les pays hispanophones, en particulier ceux d’Amérique du Sud, avec lesquels il s’est toujours attaché à développer des coopérations hospitalières solides (Chili, Argentine, Mexique).
Son histoire passionnelle avec le Sud Ouest et le Pays Basque, l’a conduit à s’éprendre de rugby et de tauromachie. Jean-Jacques ROMATET aime le rugby et ses symboles et il se plaît à dire que » à l’hôpital, c’est comme au rugby, on n’est rien sans les autres ». Il a également toujours été passionné de culture au sens large, de Matisse en particulier, mais aussi de peinture basque, lui rappelant les images de son enfance, à l’exemple de l’artiste Marixa auteur des « Cerisiers d’Itxassou ».